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Membre de l’UFCS (Union Française des Centres de Sauvegarde), notre Centre de Sauvegarde a pour mission d’accueillir tout animal sauvage en danger et organiser son sauvetage dans les meilleures conditions en prenant en compte ses besoins physiologiques en vue de le relâcher dans la nature. Notre Centre est l’un des rares centres de France à accueillir toutes les espèces d’animaux sauvages, du moineau jusqu’au phoque.
Notre Centre de Sauvegarde est reconnu comme un pôle de compétence en matière de soins accordés aux animaux sauvages. Lors des grandes vagues de marée noire, le CHENE a créé sa propre « machine à démazouter les oiseaux » qui a permis de mettre en avant le savoir-faire de nos équipes. Afin de contribuer chaque jour à l’avancée des connaissances en matière de faune sauvage, notre équipe travaille étroitement avec le Centre National de la Recherche Scientifique, le Muséum National d’Histoire Naturelle de Paris, l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire, la SNECM (étude et fabrication des moteurs pour avions) ou encore l’Université de Lausanne. L’association CHENE agit depuis près de 40 ans pour protéger et sauvegarder la faune sauvage. Grâce à son Centre et son équipe complétée au quotidien par de nombreux bénévoles et stagiaires, ce sont 40 104 animaux qui ont été accueillis depuis sa création (à fin 2017). Le nombre d’animaux accueillis par an est, quant à lui, en constante évolution (1874 animaux en 2017 contre 1062 animaux en 1998 ou encore 154 animaux en 1981).

Pourquoi nous soutenir ?
Les animaux sauvages sont res nullius (ils n’appartiennent à personne), l’accueil et la prise en charge sont donc gratuits. Toutefois, chacun de nos pensionnaires représente un coût concret pour l’association que ce soit son séjour dans notre Centre (nettoyage, nourrissage…), sa médication (anti-inflammatoires, pommades…), les frais engendrés par leurs pathologies (chirurgies, sutures…) ou encore les frais de fonctionnement globaux de l’association (structures adaptées, équipe salariale…).

Budget
Il est complexe de définir un budget spécifique pour l’accueil des animaux sauvages puisque nous comprenons dans ce budget : le taux horaire de nos soigneurs, la médication achetée, le coût des installations, l’achat de la nourriture (en plus de celle fournie par nos partenaires)... Un exemple concret : l’accueil d’un goéland coûte, en moyenne, 70€ par individu.

Les phoques, notre spécialité
L’association CHENE est aujourd’hui considérée comme spécialiste en matière de soins aux phoques. Nous accueillons, chaque année, plusieurs individus de phoques veaux-marins phoca vitulina et phoques gris halichoerus grypus qui sont identifiés par une boucle permettant de retrouver l’animal dans le milieu naturel. Une fois les soins terminés, nous proposons des relâchers où les parrains et marraines sont invités à partager avec nous cet heureux événement. Notre Centre de Sauvegarde est également reconnu comme un pôle de compétence en matière de mammifères marins grâce au RNE – Réseau National d’Echouage. Le CHENE et son Responsable du Centre de Sauvegarde, Monsieur Alain BEAUFILS, accueille régulièrement des stagiaires un peu particuliers : des membres du RNE qui viennent développer ou asseoir leurs connaissances en matière de mammifères marins. Un moment d’échange propice pour discuter de la biologie de ces animaux incroyables. Que ce soit les installations spécifiques (piscines, volières tunnels…), leur régime alimentaire ou encore le temps passé par nos salariés à s’occuper d’eux, les phoques peuvent engendrer des frais importants. En moyenne, un jeune phoque retrouvé échoué engendre 2 500€ de frais pour notre association jusqu’à son relâcher. Chaque année, nous recevons également des adultes en détresse (capture par filets, maladie par substances toxiques…).

Notre avenir
Notre Centre de Sauvegarde se développe continuellement depuis l’ouverture de l’association. Les installations intérieures ont été inaugurées en 1996 avec la Ministre de l’Environnement, Corinne LEPAGE. Durant les années suivantes, de nombreuses installations extérieures ont vu le jour avec en 2016 la construction d’une nouvelle volière (la petite petite volière) et la salle d’accueil des animaux en 2017. Nos installations intérieures : la salle de soins, le couloir des boxes, la nurserie oiseaux, la quarantaine phoques, la nurserie mammifères, l’animalerie et la cuisine. Nos installations extérieures : 1 piscine carrée, 12 petites volières, 10 petites petites volières, 2 taquets passereaux, 4 volières bassins, 1 volière tunnel, 1 piscine tunnel, 1 volière colombidé, 1 taquet des rapaces et 16 enclos mammifères. Afin de répondre à l’accroissement des accueils, nous souhaitons faire l’acquisition du terrain limitrophe pour construire de nouvelles infrastructures qui auront toutes un rôle précis :
- Une 2e piscine tunnel pour l’accueil des phoques. Il y a trois ans, le centre de soin de Picardie Nature a malheureusement dû fermer ses portes. Spécialisée dans l’accueil des phoques comme le CHENE, l’équipe de cette association partenaire effectue désormais le rapatriement des individus en détresse vers notre Centre de Sauvegarde ou celui de la LPA de Calais. Aujourd’hui, nous avons donc un accroissement des accueils de ces animaux très spécifiques qui nécessitent des infrastructures optimales. Cette piscine sera assez longue pour permettre de muscler les animaux en soin, sera dotée d’un système de filtration nouvelle génération pour faciliter l’entretien et proposera une pente douce et des plages pour faciliter les soins et le nourrissage.
- Deux volières tunnels pour la rééducation des oiseaux. Nous sommes tous les ans confrontés à la même problématique lors de la saison estivale : comment permettre aux différents oiseaux pensionnaires de faire la rééducation et s’habituer au vol avec une seule volière ? Aujourd’hui la question ne se pose plus : nous ne pouvons plus. Il nous est indispensable de construire deux nouvelles volières tunnels.
- Une volière rapace pour la rééducation des grands rapaces. Etant des oiseaux à la biologie et la physionomie particulière, les rapaces accueillis nécessitent des structures adaptées à leur système de vol. En effet, il s’avère que les volières tunnels ne sont pas optimales pour les rapaces puisqu’il ne faut pas tant de la longueur pour le vol que de la hauteur. En effet notre objectif est qu’ils se musclent en réalisant de grand mouvement de haut en bas, nos volières tunnels ne sont donc plus adaptées à ce nouveau protocole de soin que nous souhaitons mettre en place.

https://associationchene.com

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